Krakow-Vie
Voilà un peu plus d’une semaine que je suis en Pologne et j’ai retardé au maximum l’écriture de cet article, comme certains d’entre vous l’ont constaté (c’est que j’ai des fans maintenant, faut que j’assure ;))
Plus que la pression c’est la difficulté à décrire ce pays, mes ressentis qui m’ont fait remettre au lendemain la prise de temps nécessaire à l’écriture de ce blog. Aujourd’hui je vais tenter… et c’est bien parce que c’est vous !
Arrivée après 9 heures de bus à Krakow (ou Cracovie en français) j’ai cherché pendant quelques heures l’adresse d’Ula, la couchsurfeuse qui avait accepté de me loger pour ma première nuit. Ne trouvant pas par moi-même, j’ai sollicité l’aide d’une dame qui promenait son chien… Et là que ne fut pas mon étonnement de voir, comme dans un village, plusieurs personnes âgées se rapprocher de nous afin de prêter main forte… Tout le monde savait plus ou moins où se trouvait la rue ardemment recherchée ce qui créa une joyeuse cacophonie verbale où je ne pipais mot mais dont l’issue me fut profitable… après une vingtaine de minutes !! Première immersion dans la société polonaise… touchant !
Le soir de mon arrivée chez Ula, un autre couchsurfer était déjà hebergé, Vidhi originaire de New Dehli. Il me proposa gentiment de partager le diner indien qu’il était en train de préparer. Il m’attribua le rôle de coupeuse d’oignons, essentiel dans la préparation de la cuisine indienne et j’appris alors qu’il y avait tout un tas de façon de couper cet ingrédient… je suis une experte maintenant !
Le lendemain matin je repris ma route et mon sac après une longue et passionnante discussion avec Ula qui m’en apprit beaucoup sur les conditions de vie actuelles d’une grande partie de la population polonaise… pour résumer : c’est mieux qu’avant mais c’est encore la misère (vous voyez que je sais faire court parfois !)
Cette misère que me décrivait Ula, elle m’attendait quelques stations de tram plus loin. Pour rejoindre l’auberge de jeunesse que j’avais repéré, je dû traverser une partie de la ville où se tient régulièrement un « marché aux puces ». Je trouvais indécent de sortir mon appareil photo aussi je ne peux que décrire (ce qui arrivera sans doute souvent). Décrire que ce qui m’a le plus marqué ce sont tous ces visages croisés. Pas besoin de connaitre le polonais pour lire ces marques creusées, incrustées. Là-bas on attend que quelqu’un achète pour quelques centimes les babioles entassées, la dureté du regard laisse à penser qu’il en va de leur survie… Le soleil tentait de parsemer d’or, de douceur cette scène traversée, en vain.
A l’entrée de mon auberge, son titre « Good Bye Lenine » et ses couleurs rouges me rappelaient que je ne pourrais traverser ce pays sans prendre en compte son passé… si je voulais le comprendre.
Après une semaine je ne peux dire que je l’ai compris, mais j’ai maintenant quelques clés qui me permettent de l’aimer et de comprendre pourquoi parfois certains regards sont si graves, pourquoi la retenue est légion ici ou pourquoi il existe un si grand contraste entre l’ancienne et la nouvelle génération.
A Krakow-vie j’ai d’abord regardé SES gens ; Peu de visites pendant ces quelques jours. Prendre le pouls de cette ville, humer son atmosphère, découvrir ses quartiers, discuter avec ses habitants (pour ceux qui parlaient anglais) voilà quelques-unes des activités intenses qui rythmèrent mon séjour !
Quoi de mieux que des photos pour illustrer cette vie bouillonnante et pleine de contraste rencontrée à Krakow ?!! Avé les commentaires of course !
Commençons par… la fameuse Fiat 126, la plus petite de la collec ! Symbole d’un temps révolu quoique pas si lointain…
A chaque carrefour l’on croise ces petites bicoques bleues où l’on peut acheter ces fameux petits pains ronds ou en forme de bretzel parsemés au choix de sésame, pavot ou sel
A Krakow, se repérer est un jeu d’enfant (enfin dans le centre !!) La vieille ville s’organise autour de l’immense place du marché et est ceinturée par une sorte de « coulée verte » plantée à la place des anciens remparts dont ne reste qu’une porte au nord. Tout ce secteur est piétonnier ce qui rend la visite fort agréable.
Sur la place principale des petites troupes et artistes rivalisent de créativité pour décrocher des sourires… et quelques zlotys (la monnaie polonaise voyons !) Beaucoup de touristes, étrangers mais surtout polonais…
Une halle au milieu de cette place accueille tout l’artisanat de la Pologne et la star de cette hall est l’or de la baltique… allez je vous laisse deviner de quoi il s’agit ! PS : Ivetta et Kasia rencontrée à Krakow n’ont pas le droit de jouer, ni July !!
Tout est fait pour attirer le touriste et ça marche ! L’axe principal reliant le nord au sud de la vieille ville est noir de monde. Même la bonne vieille technique des hommes sandwich est employée…
Au sud de la veille ville la colline du château Wawel et sa cathédrale.
Ici bat le cœur de la Pologne. Pendant plus de cinq siècles ce fut le centre politique du pays ; les rois et leurs cours s’y succédèrent jusqu’en 1596, année où la capitale fut transférée à Varsovie ! D’après le Routard, les cracoviens ne l’ont toujours pas digeré. Ici en Pologne il y a les pro Krakow et les pro Warsaw… Sur la colline, on rencontre principalement des polonais. La plupart des grands hommes de la nation sont enterrés dans la crypte de la cathédrale; il semblerait que ce soit une sorte de pèlerinage pour de nombreux polonais.
Alors que je sirotai un coca sur cette belle colline, histoire d'aider mon estomac à s'acclimater à la nourriture polonaise (trop de choux ca secoue ;)) j'ai pris un jeune photographe en flagrant délire !!
L’histoire raconte qu’aux origines un peuple et son roi s’installèrent sur cette colline éblouis par la beauté du lieu mais que leur tranquillité fut gâchée par l’apparition d’un méchant dragon qui s’établit dans une grotte en contrebas de la colline (j’vous jure c’est vrai je l’ai même visitée… et c’était un visionnaire ce dragon, il avait même installé l’électricité !!)
Le roi offrit la main de sa plus belle fille à celui qui en viendrait à bout. Tous les plus vaillants chevaliers s’y cassèrent les dents et ce fut un petit cordonnier, très malin, qui tua le méchant dragon en remplissant un mouton de souffre. Après l’avoir dévoré le dragon eu si soif qu’il but toute l’eau de la rivière jusqu’à en exploser ! Pour preuve il ya même quelques un de ses os accrochés à l’entrée de la cathédrale…
On le savait et ça se confirme : Boire comporte des risques… En pologne même l’eau, vous avez qu’à voir ! Et devinez la suite de l’histoire ? Le cordonnier épousa la belle et ainsi naquît Krakow. N’empêche il faisait pas bon naître femme avant, une vraie et efficace monnaie d’échange…
Et rien que pour vous… le dragon !
Et ses échoppes à touristes remplies de peluches vertes trop mignonnes !
Une fois que l’on sort de cette effrayante grotte on se retrouve sur les bords de la rivière en question : la Vistule. Pour ne pas connaître le même sort que ce pauvre dragon, je me suis contentée de boire un des breuvages national… allez, devinez : bière ou vodka ? Rôoooo trop facile ;)
Cette promenade le long de la Vistule m’a beaucoup plu. Sur les bancs publics les mêmes amoureux que partout… que j’aime toujours autant regarder, en douce ! Mais aussi des sportifs, des rêveurs, des étudiants se mêlant harmonieusement au va-et-vient des vélos qui ont trouvés sur ce quai la voie rêvée. Le soleil radieux donnait cette fois ci une jolie teinte à cette scène cracovienne (pas sûr que ça se dise mais tant pis !)
Kasia, une amie de Couchsurfing a eu la gentillesse de me faire visiter une partie de sa ville.Nous avons d’abord parcouru l’ancien quartier juif et le ghetto où les allemands ont entassé cette communauté séculaire de Cracovie avant d’organiser sa déportation et son extermination. Des 60 000 juifs présents avant la seconde guerre mondiale (ce qui représentait un quart de la population de Krakow) il n’en reste que très peu. Le film « La liste de Schindler » a en grande partie été tourné sur les lieux même de cette tragédie et les murs de l’entreprise d’Oscar Schindler existent toujours. Difficile d’en dire plus, si ce n’est que j’ai longtemps hésité à aller à Auschwitz-Birkenau mais que j’y ai finalement renoncé, ne trouvant pas la force…
Une amie de Kasia nous a rejoints et nous sommes allées boire un verre dans un bistrot français ! Un de leur endroit préféré ! Devinez de quoi parlent trois nanas qui bossent toutes dans le secteur du social et de l’éducation autour d’un verre en Pologne ?!! De l’avenir des bambins de la planète bien sûr. Bon, en anglais on ne pouvait pas se déchainer (enfin moi surtout !!). Ce fut très sympa ! D’autant que grâce à elles j’ai découvert le «Belleville» de Krakow, un endroit que les touristes ne connaissent pas encore très bien, ouf ! Remplis de petites boutiques, de bars et resto sympa où la jeunesse polonaise se donne rendez-vous ! Je garde le secret pour moi ;)
C’est d’ailleurs là que quelques jours plus tard j’ai sympathisé avec Ivetta en attendant que se prépare ma zapekianki (pour les curieux voici un lien pour voir ce dont il s’agit et peut-être essayer !
http://lacuisinedepatounette.cuisineblog.fr/r5931/recettes-polonaises/
Charmante, Ivetta m’a proposé de l’accompagner rejoindre ses potes qui se remettaient de leurs efforts après une partie endiablée de beach-volley, sport qu’il s’était fixé de faire tous les jeudi de l’été ! C’est tout naturellement qu’Ivetta m’a présenté à ses amis et que j’ai passé quelques heures avec eux 4 qui parlaient, pour mon plus grand bonheur, tous anglais !
Mon séjour a Krakow a été tellement riche qu’il m’est difficile de m’arrêter… mais mon ventre crie famine dans les montagnes polonaise d’où je vous écris et il me faut garder de l’énergie pour écrire un petit résumé de mes aventures à Zakopane demain lorsque je serai dans le train qui me conduira vers Varsovie ! Alors à demain !! J’espère vous avoir fait encore un peu voyager. Je vous embrasse tous très fort
Plus que la pression c’est la difficulté à décrire ce pays, mes ressentis qui m’ont fait remettre au lendemain la prise de temps nécessaire à l’écriture de ce blog. Aujourd’hui je vais tenter… et c’est bien parce que c’est vous !
Arrivée après 9 heures de bus à Krakow (ou Cracovie en français) j’ai cherché pendant quelques heures l’adresse d’Ula, la couchsurfeuse qui avait accepté de me loger pour ma première nuit. Ne trouvant pas par moi-même, j’ai sollicité l’aide d’une dame qui promenait son chien… Et là que ne fut pas mon étonnement de voir, comme dans un village, plusieurs personnes âgées se rapprocher de nous afin de prêter main forte… Tout le monde savait plus ou moins où se trouvait la rue ardemment recherchée ce qui créa une joyeuse cacophonie verbale où je ne pipais mot mais dont l’issue me fut profitable… après une vingtaine de minutes !! Première immersion dans la société polonaise… touchant !
Le soir de mon arrivée chez Ula, un autre couchsurfer était déjà hebergé, Vidhi originaire de New Dehli. Il me proposa gentiment de partager le diner indien qu’il était en train de préparer. Il m’attribua le rôle de coupeuse d’oignons, essentiel dans la préparation de la cuisine indienne et j’appris alors qu’il y avait tout un tas de façon de couper cet ingrédient… je suis une experte maintenant !
Le lendemain matin je repris ma route et mon sac après une longue et passionnante discussion avec Ula qui m’en apprit beaucoup sur les conditions de vie actuelles d’une grande partie de la population polonaise… pour résumer : c’est mieux qu’avant mais c’est encore la misère (vous voyez que je sais faire court parfois !)
Cette misère que me décrivait Ula, elle m’attendait quelques stations de tram plus loin. Pour rejoindre l’auberge de jeunesse que j’avais repéré, je dû traverser une partie de la ville où se tient régulièrement un « marché aux puces ». Je trouvais indécent de sortir mon appareil photo aussi je ne peux que décrire (ce qui arrivera sans doute souvent). Décrire que ce qui m’a le plus marqué ce sont tous ces visages croisés. Pas besoin de connaitre le polonais pour lire ces marques creusées, incrustées. Là-bas on attend que quelqu’un achète pour quelques centimes les babioles entassées, la dureté du regard laisse à penser qu’il en va de leur survie… Le soleil tentait de parsemer d’or, de douceur cette scène traversée, en vain.
A l’entrée de mon auberge, son titre « Good Bye Lenine » et ses couleurs rouges me rappelaient que je ne pourrais traverser ce pays sans prendre en compte son passé… si je voulais le comprendre.
Après une semaine je ne peux dire que je l’ai compris, mais j’ai maintenant quelques clés qui me permettent de l’aimer et de comprendre pourquoi parfois certains regards sont si graves, pourquoi la retenue est légion ici ou pourquoi il existe un si grand contraste entre l’ancienne et la nouvelle génération.
A Krakow-vie j’ai d’abord regardé SES gens ; Peu de visites pendant ces quelques jours. Prendre le pouls de cette ville, humer son atmosphère, découvrir ses quartiers, discuter avec ses habitants (pour ceux qui parlaient anglais) voilà quelques-unes des activités intenses qui rythmèrent mon séjour !
Quoi de mieux que des photos pour illustrer cette vie bouillonnante et pleine de contraste rencontrée à Krakow ?!! Avé les commentaires of course !
Commençons par… la fameuse Fiat 126, la plus petite de la collec ! Symbole d’un temps révolu quoique pas si lointain…
A chaque carrefour l’on croise ces petites bicoques bleues où l’on peut acheter ces fameux petits pains ronds ou en forme de bretzel parsemés au choix de sésame, pavot ou sel
A Krakow, se repérer est un jeu d’enfant (enfin dans le centre !!) La vieille ville s’organise autour de l’immense place du marché et est ceinturée par une sorte de « coulée verte » plantée à la place des anciens remparts dont ne reste qu’une porte au nord. Tout ce secteur est piétonnier ce qui rend la visite fort agréable.
Sur la place principale des petites troupes et artistes rivalisent de créativité pour décrocher des sourires… et quelques zlotys (la monnaie polonaise voyons !) Beaucoup de touristes, étrangers mais surtout polonais…
Une halle au milieu de cette place accueille tout l’artisanat de la Pologne et la star de cette hall est l’or de la baltique… allez je vous laisse deviner de quoi il s’agit ! PS : Ivetta et Kasia rencontrée à Krakow n’ont pas le droit de jouer, ni July !!
Tout est fait pour attirer le touriste et ça marche ! L’axe principal reliant le nord au sud de la vieille ville est noir de monde. Même la bonne vieille technique des hommes sandwich est employée…
Au sud de la veille ville la colline du château Wawel et sa cathédrale.
Ici bat le cœur de la Pologne. Pendant plus de cinq siècles ce fut le centre politique du pays ; les rois et leurs cours s’y succédèrent jusqu’en 1596, année où la capitale fut transférée à Varsovie ! D’après le Routard, les cracoviens ne l’ont toujours pas digeré. Ici en Pologne il y a les pro Krakow et les pro Warsaw… Sur la colline, on rencontre principalement des polonais. La plupart des grands hommes de la nation sont enterrés dans la crypte de la cathédrale; il semblerait que ce soit une sorte de pèlerinage pour de nombreux polonais.
Alors que je sirotai un coca sur cette belle colline, histoire d'aider mon estomac à s'acclimater à la nourriture polonaise (trop de choux ca secoue ;)) j'ai pris un jeune photographe en flagrant délire !!
L’histoire raconte qu’aux origines un peuple et son roi s’installèrent sur cette colline éblouis par la beauté du lieu mais que leur tranquillité fut gâchée par l’apparition d’un méchant dragon qui s’établit dans une grotte en contrebas de la colline (j’vous jure c’est vrai je l’ai même visitée… et c’était un visionnaire ce dragon, il avait même installé l’électricité !!)
Le roi offrit la main de sa plus belle fille à celui qui en viendrait à bout. Tous les plus vaillants chevaliers s’y cassèrent les dents et ce fut un petit cordonnier, très malin, qui tua le méchant dragon en remplissant un mouton de souffre. Après l’avoir dévoré le dragon eu si soif qu’il but toute l’eau de la rivière jusqu’à en exploser ! Pour preuve il ya même quelques un de ses os accrochés à l’entrée de la cathédrale…
On le savait et ça se confirme : Boire comporte des risques… En pologne même l’eau, vous avez qu’à voir ! Et devinez la suite de l’histoire ? Le cordonnier épousa la belle et ainsi naquît Krakow. N’empêche il faisait pas bon naître femme avant, une vraie et efficace monnaie d’échange…
Et rien que pour vous… le dragon !
Et ses échoppes à touristes remplies de peluches vertes trop mignonnes !
Une fois que l’on sort de cette effrayante grotte on se retrouve sur les bords de la rivière en question : la Vistule. Pour ne pas connaître le même sort que ce pauvre dragon, je me suis contentée de boire un des breuvages national… allez, devinez : bière ou vodka ? Rôoooo trop facile ;)
Cette promenade le long de la Vistule m’a beaucoup plu. Sur les bancs publics les mêmes amoureux que partout… que j’aime toujours autant regarder, en douce ! Mais aussi des sportifs, des rêveurs, des étudiants se mêlant harmonieusement au va-et-vient des vélos qui ont trouvés sur ce quai la voie rêvée. Le soleil radieux donnait cette fois ci une jolie teinte à cette scène cracovienne (pas sûr que ça se dise mais tant pis !)
Kasia, une amie de Couchsurfing a eu la gentillesse de me faire visiter une partie de sa ville.Nous avons d’abord parcouru l’ancien quartier juif et le ghetto où les allemands ont entassé cette communauté séculaire de Cracovie avant d’organiser sa déportation et son extermination. Des 60 000 juifs présents avant la seconde guerre mondiale (ce qui représentait un quart de la population de Krakow) il n’en reste que très peu. Le film « La liste de Schindler » a en grande partie été tourné sur les lieux même de cette tragédie et les murs de l’entreprise d’Oscar Schindler existent toujours. Difficile d’en dire plus, si ce n’est que j’ai longtemps hésité à aller à Auschwitz-Birkenau mais que j’y ai finalement renoncé, ne trouvant pas la force…
Une amie de Kasia nous a rejoints et nous sommes allées boire un verre dans un bistrot français ! Un de leur endroit préféré ! Devinez de quoi parlent trois nanas qui bossent toutes dans le secteur du social et de l’éducation autour d’un verre en Pologne ?!! De l’avenir des bambins de la planète bien sûr. Bon, en anglais on ne pouvait pas se déchainer (enfin moi surtout !!). Ce fut très sympa ! D’autant que grâce à elles j’ai découvert le «Belleville» de Krakow, un endroit que les touristes ne connaissent pas encore très bien, ouf ! Remplis de petites boutiques, de bars et resto sympa où la jeunesse polonaise se donne rendez-vous ! Je garde le secret pour moi ;)
C’est d’ailleurs là que quelques jours plus tard j’ai sympathisé avec Ivetta en attendant que se prépare ma zapekianki (pour les curieux voici un lien pour voir ce dont il s’agit et peut-être essayer !
http://lacuisinedepatounette.cuisineblog.fr/r5931/recettes-polonaises/
Charmante, Ivetta m’a proposé de l’accompagner rejoindre ses potes qui se remettaient de leurs efforts après une partie endiablée de beach-volley, sport qu’il s’était fixé de faire tous les jeudi de l’été ! C’est tout naturellement qu’Ivetta m’a présenté à ses amis et que j’ai passé quelques heures avec eux 4 qui parlaient, pour mon plus grand bonheur, tous anglais !
Mon séjour a Krakow a été tellement riche qu’il m’est difficile de m’arrêter… mais mon ventre crie famine dans les montagnes polonaise d’où je vous écris et il me faut garder de l’énergie pour écrire un petit résumé de mes aventures à Zakopane demain lorsque je serai dans le train qui me conduira vers Varsovie ! Alors à demain !! J’espère vous avoir fait encore un peu voyager. Je vous embrasse tous très fort
J'avoue que ton texte était excellent et m'a donné envie de connaitre Cracovie. Pourtant, ce n'était pas une de mes destinations prioritaires. J'ai toujours hâte de te lire. Bisous
RépondreSupprimerCa me va droit au coeur Christophe, merci beaucoup! Je prends du temps pour ecrire ces petits articles mais si ca vous plait... ca en vaut la peine ;)) Je quitte Varsovie demain... pour decouvrire quelques jours le Lettonie et sa capitale, Riga. Je vous raconterai ! Bises a tous, Do Widzenia !
RépondreSupprimerJe prend vite l'habitude de regarder ton blog et de suivre ton périple. Chaque semaine c'est bien mais l'attente est longue. A bientôt pour Varsovie et Riga. Le temps passant, je vois que tu as bien fait de vivre ce rêve.
RépondreSupprimerBisou ma fille.
de Tata
RépondreSupprimerJe n'ai pas encore essayé d'envoyer un commentaire mais c'est vrai que c'est plaisant de voyager avec toi surtout quand on ne peut rien faire comme moi : on apprend plein de choses mais c'est sûrement mieux de les vivre...
Pour Audrey, ce n'est pas la même chose car elle ne voyage pas.
Bises.
Tata